Le Pixel.com - Page 7 sur 10 - Jeu indépendant & rétro, actualité geek & WTF.
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Le jeu Call of Cthulhu sort de l’ombre

Lovecraft, un maître incontesté de l’horreur

Howard Phillips Lovecraft, créateur du mythe de Cthulhu, est un écrivain américain torturé reconnu comme l’un des pères de l’horreur les plus influents du xxe siècle. Bien que sa plume ne soit pas reconnue comme étant l’une des plus belles, il a su tisser des contes et nouvelles horrifiques où l’Homme n’est réduit qu’à l’état […]

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Ouverture d’une galerie dédiées aux WEBM

Après presque trois années d’absence, ouverture d’une galerie trop cool qui va me permettre de stocker tout un tas de vidéos à la con. Le format actuel est WEBM, plutôt mal supporté par les navigateurs en dehors de Google Chrome. Pour remédier à ce petit problème, une chaîne Youtube verra éventuellement le jour. (Edit après un an : En fait […]

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Electronic Arts & ses DLC’s

Histoire de vous divertir toujours plus, voici l’image de la semaine. Nouveau billet très bref qui sera publié chaque lundi à partir d’aujourd’hui et qui tentera de pointer du doigt les aberrations du jeu-vidéo de nos jours. Je profite de cette news pour annoncer l’ajout d’une galerie #WTF composée de gifs. Enfin, n’hésitez pas à […]

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Slender : The Arrival

L’épouvante revient le 27 Mars 2013.

Apparu en 2009 par l’intermédiaire d’une clichés retouchés, l’étrange et filiforme Slenderman n’a de cesse de faire parler de lui. Histoires, nouvelles, photos truquées, vidéos et jeu-vidéo, ce qui n’était à la base qu’un sujet de discussion sur un forum américain est devenu un phénomène quasi-incontournable du jeu d’horreur. Cette suite direct de […]

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– La casualisation du jeu-vidéo.

Video_Games

Un article plus récent et travaillé a vu le jour sur le site : Casualisation du jeu-vidéo : un nouveau point.

La casualisation serait un impression passagère ou bel et bien un effet de mode qui risque de s’ancrer ? Dans tous les cas, le constat du Pixel est net. Depuis la démocratisation du jeu-vidéo accessible à tous combiné à un Web 2.0, le monde du vidéo-ludique subit de nombreux changements.

Naguère, un jeu-vidéo ne ressemblait pas à un vulgaire passe-temps. Il demandait un minima d’investissement, de patience, de réflexion, et possédait de surcroit une difficulté plus aboutie que ce qu’il est possible de rencontrer aujourd’hui. De mémoire d’homme, le jeu-vidéo n’était, à sa naissance, qu’un loisir profane marginalisé et pointé du doigts par ceux que l’on pourrait appeler de ne jours les casuals.

A cet époque, le joueur n’était pas rebuté à l’idée de passer plusieurs heures bloqué dans la même salle, braver une horde d’ennemis sans munitions ou recommencer dix fois la même scène du jeu ne l’effrayait pas, car une fois le défi relevé, il acquérait une grande satisfaction couplée à sentiment grandissant de réussite.

Hélas, ce temps est révolu depuis cinq années déjà. La course ne se fait plus sur le même domaine. Autrefois, on misait sur l’originalité du gameplay ou sur les scenarii, à présent, l’évolution du jeu-vidéo s’oriente autour de l’avancée graphique ou du plagiat économique. Il faut dire qu’avec la démocratisation que l’univers vidéo-ludique a subi, le publique dominant n’est plus le même et les gamers qui autrefois incarnaient la seul et unique source de revenus aux éditeurs ne représentent plus qu’une infime part du marché. [ Il suffit de regarder les ventes de Party Games pour s’en rendre compte. ]

Ces chiffres sont dus à une mentalité changeante, qui évolue aussi bien du côté des développeurs que des joueurs. La plupart des joueurs cherchent aujourd’hui à se détendre une heure ou deux par semaine, souvent de façon conviviale, et ne souhaitent en aucun cas se crisper derrière leur manette. De l’autre côté, le gamer s’évertue à trouver un titre sur lequel il bloquera à plusieurs reprises avant de pouvoir enfin aboutir à quelque chose.

Adaptons cette situation à un contexte plus banal. Prenons un randonneur ainsi qu’un promeneur. L’un comme l’autre sont animés par la même passion, à savoir la promenade. Le randonneur aspire à fournir de réels efforts afin de parvenir à réaliser un but précis, tel que gravir un un lieu peu praticable où nul ne s’aventure pour des raisons épineuses. A la fin de son parcours, il éprouvera une certaine fierté du fait accompli, tandis que, notre promeneur ne demande qu’à se dégourdir les jambes, et pourquoi pas, admirer le paysage qui l’entoure, tout cela sans trop se fatiguer.

Il est désormais possible d’affirmer le fait que, la difficulté, qui était autrefois source de plaisir pour les gamers, s’est transformée en lassitude pour les joueurs émergents. Cependant, il faut prendre en compte un autre point que le gamer semble oublier, c’est qu’avec le temps, il est devenu un joueur chevronné et que par conséquent, certains jeux qui lui semblent faciles le sont sûrement à cause de son expérience acquise au fil des années.

Enfin, avant de clore l’article, Le Pixel vous invite à rire avant de verser quelques larmes. Voici ce à quoi Mario aurait pu ressembler aujourd’hui. Passons aux larmes désormais car le prochain épisode de Nintendo, à savoir Super Mario Galaxy 2, intégrera une option permettant à notre très cher plombier d’effectuer les passages les plus délicats seul. Adieu les prises de tête et l’habileté requise pour terminer certains moments ardus, dès que cela devient un brin trop difficile, autant faire jouer … le jeu.

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– A qui la palme ?

Electronic_Arts

Décidément, s’il y a une chose dans laquelle le monde du jeu-vidéo excelle depuis quelques mois, c’est bien dans les inepties vidéo-ludiques. Suite au fameux DRM d’Ubisoft et aux DLC payants à outrance, voici l’Online Pass d’Electronic Arts. Ne vous méprenez, cette création n’est pas une innovation bénéfique pour les joueurs, ce n’est pas dans le courant par ces temps de crise économique. Derrière cette superbe nouveauté ne se cache donc qu’une seule chose : un moyen supplémentaire de renflouer les caisses de l’éditeur.

Après s’être attirée la foudre des gamers suite à son annonce concernant l’éventuelle arrivée de démos payantes sur le marché fin Mars, la société décide de faire parler d’elle une fois de plus et ce grâce à son nouveau dispositif vénal.

L’Online Pass est un moyen de s’enrichir sur les jeux d’occasion, à condition qu’il soit jouable online. Effectivement, lors de l’achat d’un jeu accessible en ligne neuf, une clé vous permettant d’accéder aux services vous est donnée. Cependant, lorsque la lassitude pointe le bout de son nez, il n’est pas rare qu’un joueur revende son acquisition malgré le fait qu’il ait déjà utilisé la dite clé, et c’est là qu’Electronic Arts frappe fort. Le prochain possesseur du jeu en question sera forcé de s’acquitter de la coquette somme de 9,99€ (Ou 800 MS points) s’il veut, à son tour, profiter du service en ligne.

Voilà une belle façon d’augmenter son rendement et de ruiner l’évolution du jeu d’occasion, c’est à croire que «Marketing» est le seul mot d’ordre chez EA actuellement.

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– A votre bon cœur.

World_of_Goo

Ce n’est pas la première fois que ce genre de stratagème voit le jour, cependant il s’agit cette fois d’une prouesse très intéressante, que cela soit sur le plan monétaire ou social. Proposé par Wolfire Games, le Humble Indie Bundle rassemble plusieurs franchises issues de divers producteurs indépendants dans un but bien précis : vous permettre de découvrir de nouveaux horizons vidéo-ludiques au prix que vous désirez tout en soulageant votre esprit, car les fonds récoltés seront versés, et ce à votre convenance, à plusieurs associations, à savoir Child’s Play ainsi qu’Electronic Frontier Foundation. Cependant, il vous sera tout à fait possible de ne rien donner aux associations afin de léguer votre somme uniquement aux développeurs.

Au programme, plusieurs petits trésors sont au rendez-vous, partant de l’excellent puzzle-game qu’est World of Goo en passant par le point-n-click Aquaria, vous serez ravis d’entendre que d’autres titres [un peu plus méconnus] sont de la partie : Gish, Lugaru HD et Penumbra Overture.

Le Pixel ne se permettra pas de critiquer les trois derniers jeux, car il n’a pas encore mis ses pattes dessus, mais sachez cependant que les deux premiers sont des valeurs sûres dans le domaine du jeu indépendant et qu’ils ont à plusieurs reprises fait leur preuves.

Une dernière remarque, cette offre est limitée dans le temps, il vous reste moins d’une semaine pour effectuer votre bonne action annuelle, si elle vous intéresse, c’est ici que cela se passe.

Temporaire : Jeu concours. – Terminé ! Voici les réponses.

1 – Par quel personnage emblématique est représentée la marque SEGA ?

Sonic.

2 – Qui a conçu la célèbre série Black & White ?

Peter Molyneux. J’insiste sur le mot conçu.

3 – Quel est le nom du futur gadget de Sony ressemblant à la Wiimote ?

Le Playstation Move.

4 – Dans le jeu Portal, quel est votre seul et unique objectif ?

Recevoir votre délicieuse part de gâteau.

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– Message à caractère informatif.

Kerrigan_Starcraft2

Avis aux anachorètes solitaires et autres pantouflards, cette courte dépêche vous est dédiée. Une grande nouvelle vient de sévir dans le monde du jeu-vidéo, et c’est Blizzard qui s’y colle. Starcraft II : Wings of Liberty est annoncé, et ce pour le 27 Juillet 2010. Bien que le jeu soit actuellement à l’origine de plusieurs controverses à cause de sa séparation en plusieurs volets et des DLC devenus récurrents, il demeure néanmoins l’évolution tant attendue de son aîné qui aura su marquer le genre du RTS depuis bientôt 13 ans.

Suite à quelques heures passées sur le bêta, Le Pixel vous confirme que le jeu reste une source sûre et marche avec brio sur les traces de son aîné. Côté gameplay plusieurs changements voient le jour, des détails et quelques modifications drastiques viennent s’ajouter à ce qui a fait de Starcraft, premier du nom, une réussite.

Commençons par les Zergs qui ne créeront plus leur creep de la même façon. Votre mucus ne sera donc plus sécrété par vos bâtiments défensifs mais grâce à vos Seigneurs, qui possèderont la capacité d’en régurgiter sur le sol, ou à votre Reine, apte à créer des tumeurs biologiques capables de s’enfouir dans le sol et de répandre votre liquide.

Côté Protoss, attendez-vous encore à quelques nouvelles choses, comme la possibilité de faire apparaître vos unités depuis n’importe quelle position sur votre carte grâce à vos Portails. Imaginez le nombre de stratégies mises à votre disposition avec ce genre d’avantages.

Terran_nukeL’attaque nucléaire Terran garde toute sa saveur d’antan.

Venons-en aux Terrans, dont le développement s’effectue un tantinet plus promptement, grâce à divers modules permettant de créer deux unités simultanément. Cet avantage reste cependant légèrement faiblard, car il ne s’applique qu’aux unités dites basiques. Au niveau des bâtiments, il est désormais possible de faire évoluer le centre de commandement en véritable forteresse ou d’y introduire des VCS afin qu’ils naviguent librement dans les airs avec lui, avantage indéniable qui vous évitera de perdre vos récolteurs en cours de route. Enfin, un changement mineur prouve que Blizzard fait parfois attention aux stratégies élaborées par ses joueurs : le dépôt de ravitaillement profite d’une nouvelle aptitude, celle s’enfouir sous terre.

La plupart des unités disposent désormais des compétences activables ou passives qui permettent littéralement de renverser la situation, à condition de savoir où et quand s’en servir. Du saut à l’enjambement d’obstacle tout en passant par le camouflage de masse, vous jouirez d’un arsenal complet. Autres modifications notables du côté des unités, il sera envisageable de personnaliser votre gameplay grâce à l’ajout d’un système d’améliorations. Chaque mission bénéficiera d’objectifs optionnels accordant des crédits supplémentaires, cet argent concédera à augmenter les capacités de vos troupes via une interface «hors-jeu».

Concluons. Starcraft II a tout d’un titre quasi-parfait. Blizzard reprend un jeu exceptionnel et le peaufine, ce qui amène forcément à quelque chose de bon. Toutefois, la division du jeu en trois volets fait grincer des dents la communauté, qui craint de devoir payer trois fois la coquette somme de 60€ afin de pouvoir fouler les trois campagnes. Cependant, aux dernières nouvelles, chaque campagne offrirait un scénario complet et une longévité à faire pâlir les titres du genre. Reste à voir ce que cela donnera. Dans le pire des cas, les trois races seront disponibles en multijoueur.

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– Recommandations.

Les bons jeux se font rares de nos jours, cependant, il y a toujours quelques perles à cueillir au cœur d’un temps révolu. Ce sera donc parmi d’anciens titres, parfois immémoriaux, que Le Pixel va constituer une liste non-exhaustive, qui sera, de temps à autre, mise à jour afin d’éventuellement vous donner l’envie et la fougue de toucher (ou de retoucher) à ces références mythiques du monde du jeu-vidéo.

Bien entendu, chaque monde virtuel auquel nous toucherons sera critiqué avec objectivité, malgré d’agréables et séduisants souvenirs qu’ils auront su laisser. Attendez vous cependant à quelques genres récurrents, Le Pixel a ses goûts et ne compte pas les dénigrer.

Nous commencerons par l’illustre série des Might & Magic, plus précisément par l’épisode VII.

Might_And_Magic_7

Might and Magic VII : Pour le sang et l’honneur [For Blood and Honor.]

L’histoire débute sur une presque-île quasi-abandonnée au sein du monde d’Erathia, endroit méconnu où fourmillent d’étranges guêpes géantes ainsi que divers créatures. Votre cohue participe alors à un tournoi organisé par le Seigneur Markham, suzerain de ces terres. Le défi consiste à lui ramener différents objets, annotés sur une liste remise au préalable, afin d’hériter d’un château et des terres qui l’entourent, à Harmondale.

Bien que vous réussissiez et ce, sans encombre cette bravade, vous débarquez dans l’antre qu’est ce fortin séculaire avec un mauvais pressentiment. Des rats grouillent à travers d’étroits corridors, et des gobelins semblent avoir élu domicile dans votre nouvelle demeure. Contrariés, vous vous ruez à travers les rues du village afin d’en apprendre plus sur l’origine de cette invasion.

Malgré ses graphismes et ses sprites rebutants voire dépassés, la force de ce jeu réside dans plusieurs aspects. Immersive pour un peu que l’on s’y intéresse de près, l’histoire arrive à suivre un fil plus ou moins convaincant. [Du moins, pendant la plus grande partie de l’épopée. 3DO semble être adepte des récits de science-fiction modernes, vous comprendrez pourquoi si vous atteignez le bout du jeu.] Autres avantages de cet opus, un choix décisif en milieu de partie qui vous permettra d’opter entre le «Bien» et le «Mal», autrement dit, quelque chose de non-négligeable en ce qui concerne la rejouabilité du titre. [Il vous sera donc possible de déambuler dans les boyaux sombres et macabres des Enfers ou de naviguer par delà les nuages en fonction de votre destinée.]

Ajoutez à cela un livre de sorts complet, des compétences diverses et variées avec plusieurs degrés de maîtrise, un choix exhaustif de classes [Chevalier, Paladin, Druide, Voleur, Archer, Sorcier, Rôdeur, Clerc, Moine] capables d’évoluer à plusieurs degrés en fonction de votre alignement, et de races et vous obtenez un jeu plutôt abouti.

HarmondaleChateau d’Harmondale, alignement «Bon».

Pour ajouter quelques compliments mérités, ce jeu possède aussi un système de craft avancé en ce qui concerne l’Alchimie, regorge de quêtes annexes et autres petits trésors bien cachés. Quelques points noirs au tableau cependant, les quêtes ne sont pas toutes explicites sur les lieux à trouver et il est possible de se perdre plus ou moins rapidement dans l’aventure si l’on ne prend pas soi-même des notes sur un feuille bien posée à côté de son écran. Malgré ça, Might and Magic : For Blood and Honor reste une référence dans le monde du RPG pour Le Pixel.

L’article sera mis à jour au fil des semaines afin de vous faire profiter d’autres antiquités du monde vidéo-ludique.

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