Le Pixel.com - Page 6 sur 10 - Jeu indépendant & rétro, actualité geek & WTF.
Le Pixel.com

Le jeu Call of Cthulhu sort de l’ombre

Lovecraft, un maître incontesté de l’horreur

Howard Phillips Lovecraft, créateur du mythe de Cthulhu, est un écrivain américain torturé reconnu comme l’un des pères de l’horreur les plus influents du xxe siècle. Bien que sa plume ne soit pas reconnue comme étant l’une des plus belles, il a su tisser des contes et nouvelles horrifiques où l’Homme n’est réduit qu’à l’état […]

Lire la suite

Ouverture d’une galerie dédiées aux WEBM

Après presque trois années d’absence, ouverture d’une galerie trop cool qui va me permettre de stocker tout un tas de vidéos à la con. Le format actuel est WEBM, plutôt mal supporté par les navigateurs en dehors de Google Chrome. Pour remédier à ce petit problème, une chaîne Youtube verra éventuellement le jour. (Edit après un an : En fait […]

Lire la suite

Electronic Arts & ses DLC’s

Histoire de vous divertir toujours plus, voici l’image de la semaine. Nouveau billet très bref qui sera publié chaque lundi à partir d’aujourd’hui et qui tentera de pointer du doigt les aberrations du jeu-vidéo de nos jours. Je profite de cette news pour annoncer l’ajout d’une galerie #WTF composée de gifs. Enfin, n’hésitez pas à […]

Lire la suite

Slender : The Arrival

L’épouvante revient le 27 Mars 2013.

Apparu en 2009 par l’intermédiaire d’une clichés retouchés, l’étrange et filiforme Slenderman n’a de cesse de faire parler de lui. Histoires, nouvelles, photos truquées, vidéos et jeu-vidéo, ce qui n’était à la base qu’un sujet de discussion sur un forum américain est devenu un phénomène quasi-incontournable du jeu d’horreur. Cette suite direct de […]

Lire la suite

Rétro : Super Mario World !

Super_Mario_World

Mario et Luigi Bros pensaient pouvoir mener de paisibles vacances sur l’île des dinosaures mais c’était évidement sans compter sur la candeur et la naïveté de la Princess Peach Toadstool, qui – une fois encore – a disparu. Sans piste, les frères plombiers partent alors à sa recherche, c’est ainsi qu’une nouvelle aventure commence.

Super Mario World ou Super Mario Bros 4 est, sans conteste, le meilleur jeu de plates-formes de la Super Nintendo. Comme chaque épisode de la série, sa réalisation est menée et dirigée par l’illustre Shigeru Miyamoto, père de notre grand plombier à la moustache, mais aussi de Link et de Donkey Kong

Du côté instrumental, vous serez bercés par le clavier électronique de Koji Kondo, qui, une fois encore signe une très belle bande originale. Chaque thème correspond parfaitement au niveau auquel il est attribué. En passant de la musique vive dans les mondes où votre habileté sera mise à rude épreuve à une musique lente et calme dans les profondeurs des grottes mystérieuses.

Yoshi

Après avoir parcouru quelques kilomètres à travers une jungle luxuriante, les deux moustachus sont interpellés par un étrange cocon qui apparaît – comme par magie – devant eux. Suite à une brève inspection, un être curieux, doté de parole, surgit de l’oeuf vert tacheté.

« Hourra ! Merci de m’avoir sauvé. Mon nom est Yoshi. Je cherche à secourir mes amis, Bowser m’avait enfermé dans cet oeuf ! »

Bowser ! C’était donc – de nouveau – lui le responsable de la disparition de la princesse Peach. Nos trois héros déambulèrent ainsi à la poursuite de l’infâme Roi des Koopa.

Yoshi est une des grandes nouveautés de cet incroyable épisode, c’est, de plus, sa première apparition. Il dispose d’un bon nombre de compétences qui aideront à plusieurs reprises les frères plombiers à arpenter les 96 niveaux offerts par le jeu. Vous découvrirez, par l’intermédiaire d’un monde secret, qu’il existe une étoile où il vous sera possible de rencontrer de nouveaux Yoshis. Tous orphelins, à la recherche d’une personne : vous.

Ces petits dinosaures bénéficient du pouvoir des étoiles en fonction de leurs couleurs ou de celle de la carapace qu’ils ont en gueule :

  • Jaune : Né au beau milieu des nuages, ce Yoshi possède une force incommensurable. A chaque bond, il lui est possible de faire trembler le sol.
  • Bleu : Retrouvé au fond de la Mer, il a toujours espéré réussir à s’en sortir afin d’explorer le Ciel. Dirigé par cette volonté, il a développé une capacité unique, celle de voler.
  • Rouge : Souhaitant plus que tout sauver le monde des Dinosaures, ce Yoshi est capable de brûler toute forme de vie.
  • Vert : Il est le premier Yoshi que vous rencontrerez. Toutes les compétences précédentes lui sont accessibles, si la carapace qu’il tient dans sa bouche est de la bonne couleur.

Suite à une longue exploration, nos trois héros se retrouvèrent face à une imposante forteresse. Comment une telle bâtisse pouvait-elle se retrouver au beau milieu du monde des Dinosaures ? Que pouvait-elle abriter ? C’est le coeur serré que Mario, frère ainé de la famille Bros, s’engagea au sein du sombre Château.

Castle

Dans cet épisode, Mario et Luigi seront confrontés à la famille Koopa dans son intégralité. Les Sept enfants de Bowser seront au rendez-vous, et n’hésiteront pas à vous barrer la route. En plus de vous empêcher de libérer la princesse, chacun des sept Koopa retient en otage un des amis de Yoshi. Voici une liste exhaustive de leurs noms, tous liés au monde de la musique.

  • Iggy Koopa (inspiré d’Iggy Pop)

  • Lemmy Koopa (inspiré de Lemmy Kilmister de Motörhead)

  • Ludwig Von Koopa (fait référence à Ludwig van Beethoven)

  • Morton Koopa Jr. (fait référence à Morton Downey Jr.)

  • Roy Koopa (inspiré de Roy Orbison)

  • Wendy O. Koopa (fait référence à Wendy O. Williams)

  • Larry Koopa (serait nommé d’après Larry King)

Inutile de vous dire que vous devrez tous les combattre et trouver leur point faible avant d’arriver face à l’infâme Bowser. Côté innovation, Mario et Luigi pourront s’envoler à travers les nuages à l’aide d’un nouvel accessoire. Il vous sera aussi possible de sauvegarder à tout moment grâce aux maisons fantômes qui regorgent, elles aussi, de secrets. En parlant secret, il vous faudra bien des heures pour tout débloquer. Il y a en effet une vingtaine de mondes cachés à découvrir dont l’un vous permettra même de faire le plein de vies.

Super Mario World est sans doute le meilleur épisode de la série. Fourmillant de nouveautés, et de niveaux mystérieux, il saura vous tenir en haleine plusieurs dizaines d’heures. Si de plus, vous cherchez à terminer le jeu dans son intégralité, vous ne serez réellement pas déçus. Il est, avec The Legend of Zelda : A Link To The Past, une des perles de la génération 16 bits et l’un des jeux les plus vendus au monde, car, édité trois fois, sur trois supports différents.

Le Pixel

Retour haut

– Nintendo comprend ses anciens joueurs.

Après avoir longtemps tourné le dos à ceux ayant contribué à sa superbe, Nintendo décide enfin de rendre hommage à ses gamers séculaires en dévoilant lors de l’E3 quelques licences juteuses qui semblent être, pour Le Pixel, de futurs hits.

DonkeyKong Country Returns

Débutons par l’un des jeux les plus marquants du salon, le singulier : Donkey Kong Country Returns. Reprenant les fondations érigées par Rareware il y a de ça maintenant seize années, notre très cher gorille cravaté reprend du service dans un nouvel épisode en 2D. Après avoir épluché plusieurs vidéos avec grand intérêt, il est possible pour Le Pixel d’affirmer que cet opus marche sur les traces de Super Mario Bros Wii. Le soin apporté au décors d’arrière plan est tout bonnement incroyable, et le gameplay en plus d’être intuitif n’est pas sans rappeler celui rencontré dans le premier épisode sur Super Nintendo.

007_Wii

Continuons dans la lancée des remakes en jetant un rapide coup d’œil sur Goldeneye 007 version Wii. La seule chose qu’il est possible d’entrevoir pour le moment est qu’une refonte graphique intégrale s’est imposée sur l’ancienne bête de Rareware. Mis à part ça, la formule ne change pas. Notons tout de même l’ajout de quelques maps supplémentaires ainsi que de nouveaux modes multijoueurs et personnages.

Zelda_2_Wii

Terminons sur une bonne note avec l’aperçu du prochain Zelda Wii, à savoir The Legend of Zelda : Skyward Sword. A l’heure actuelle, rien n’a été dévoilé sur l’histoire et l’époque dudit jeu. En revanche, le design est quant à lui une associations de deux genres différents. Mélangeant le Cell Shading de Wind Waker et le réalisme de Twillight Princess, ce nouveau Zelda arrive à garder un seuil de maturité éloquent malgré ses couleurs vives prononcées, ce qui est loin d’être désagréable. Niveau changement, le gameplay sera sensiblement plus dynamique grâce à un inventaire qui ne viendra plus gâcher l’action et à une précision plus intense offerte par le Motion Plus.

Pour conclure, Big N aura réussit à surprendre Le Pixel par le biais de ces trois nouveaux titres charmeurs. Cependant, la critique continuera de s’exprimer face à la future 3DS accompagnée par d’autres titres que votre ami pixelisé prendra le soin de décortiquer sur la place publique.

Le Pixel

Retour haut

– E3, ça commence.

Le Pixel ne se préoccupera malheureusement pas de l’intégralité du salon de l’E3, le temps lui étant une chose précieuse en ce moment. Réjouissez-vous malgré tout, car il se chargera néanmoins de féliciter ou de détracter plusieurs choses annoncées lors de ce grand salon vidéo-ludique.

Kinect

Commençons vite, commençons bien. On l’appelait encore « Projet Natal » il y a de ça quelques jours, et c’est sous le feu des projecteurs et ce, dans une version définitive, qu’il change de nom pour s’intituler : Kinect.

Le produit propose toujours les même fonctionnalités que ce soit au niveau des deux caméras à captation de mouvement ou de la reconnaissance vocale. Seule bémol qui freine inlassablement l’enthousiasme des consommateurs : le joujou de Microsoft n’a encore aucun prix. On peut tout de même s’attendre à un communiqué de la part de la firme américaine avant la fin du salon, car de nombreuses rumeurs s’insinuent déjà à travers les mailles de la toile, annonçant, dans la plupart des cas, un prix dans les alentours de 175$.

Crysis_2s

Passons à une licence collée de près par votre ami pixélisé : Crysis 2.

Ne tergiversons pas des heures, la plus grosse horreur qui frappe ce jeu restera le portage sur consoles. De ce fait, le gameplay risque de prendre une sacrée claque et de se voir légèrement appauvri. Néanmoins, nous noterons de très nettes améliorations côté mise en scène et scénario. L’action semble être plus poignante, réaliste et fluide, ce qui risque de contrarier les aficionados de la furtivité. Au final, l’avis du Pixel reste très mitigé, ce très cher Nathan Camarillo avait peut-être raison sur un seul point.

La dernière critique de cette journée concernera Ubisoft et son nouveau jeu intitulé Innergy. Il consistera à viser les casuals-gamers en leur permettant de vaincre et de contrôler leur stress quotidien par le biais de différents exercices de respiration. Si l’entraînement s’avère concluant, Ubisoft devrait songer à inclure ledit jeu dans la boîte de chaque titre contenant son DRM, histoire d’éviter d’éventuelles capillotractions massives en cas de crash des serveurs de sauvegardes.

Le Pixel

Retour haut

– EA chérit ses joueurs.

Electronic_Arts

C’est spectaculaire d’aller aussi loin, mais soit, il ne nous reste plus qu’à admirer le discours tenu par l’un des grands de la firme Electronic Arts au sujet de l’Online Pass.

« Tout est centré sur le consommateur et sur la manière d’améliorer son expérience. Ce n’est pas une mesure défensive contre le marché de l’occasion ou le piratage. »

Ce sujet avait déjà fait grincer de nombreuses dents, mais cette déclaration semble être, pour de nombreux consommateurs, la goutte de trop. Plusieurs appels au boycott de la marque fleurissent désormais sur la toile et, une haine émanant de plusieurs groupuscules de joueurs jaillit à travers divers pétitions en ligne.

Décidément, ces gamers ne saisissent pas le réel intérêt de cette mesure signée Electronic Arts, la marque ne souhaite après tout qu’améliorer leur expérience au sein du jeu-vidéo.

Le Pixel

Retour haut

Blizzard, vous avez dit Bizarre ?

Starcraft_Blizzard

Critique dissimulée ou non, Blizzard dénonce implicitement le DRM d’Ubisoft, lors d’une interview avec VideoGamer, par le biais de Frank Pearce.

« If you start talking about DRM and different technologies to try to manage it, it’s really a losing battle for us. »

En clair, ce serait une bataille perdue d’avance que d’essayer d’exercer une protection aussi draconienne que celle d’Ubisoft, et ce essentiellement pour deux raisons. La première est abordée durant l’interview par le vice-président et co-fondateur de Blizzard.

« Because the community is always so much larger, and the number of people out there that want to try to counteract that technology, whether it’s because they want to pirate the game or just because it’s a curiosity for them, is much larger than our development teams. »

Pour les anglophones, Pearce explique qu’il est inutile d’investir dans une technologie anti-piratage. Peu importe le temps passé dessus, la communauté regroupant les joueurs sera toujours plus conséquente que l’équipe de développement, et réussira, par conséquent, à contrecarrer la protection, que ce soit par curiosité ou par intérêt.

Le second point, qui est lui légèrement sous-entendu, concerne les ressources moins humaines. En plus de demander un temps de travail supplémentaire aux équipe de développement, ce genre de protection possède un coût additionnel. Autant dire donc que ce n’est pas rentable, il suffit de s’appuyer sur l’exemple du DRM d’Assassin’s Creed II piraté en trois semaines.

Ce qui reste néanmoins surprenant, c’est de voir une telle critique émaner de la part de la firme américaine, qui, elle n’est pas non plus toute blanche avec son mode LAN uniquement accessible online. Mais, la défense d’Activision-Blizzard demeure plus ou moins solide, citons :

« If we’ve done our job right and implemented Battle.net in a great way people will want to be connected while they’re playing the single player campaign so they can stay connected to their friends on Battle.net and earn the achievements on Battle.net »

Bonne nouvelle, il sera donc possible au joueur d’accéder à la partie solo dudit jeu, à savoir Starcraft II en restant déconnecté. En revanche, Blizzard s’évertuera d’implémenter des succès liés à sa plateforme Battle.net et continuera l’expansion des ses outils communautaires afin que le joueur soit attiré par la version online du titre. Après tout, nous vivons maintenant dans le Web 2.0.

Le Pixel

Retour haut
Page précédente
Page précédente