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Le jeu Call of Cthulhu sort de l’ombre

Lovecraft, un maître incontesté de l’horreur

Howard Phillips Lovecraft, créateur du mythe de Cthulhu, est un écrivain américain torturé reconnu comme l’un des pères de l’horreur les plus influents du xxe siècle. Bien que sa plume ne soit pas reconnue comme étant l’une des plus belles, il a su tisser des contes et nouvelles horrifiques où l’Homme n’est réduit qu’à l’état […]

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Ouverture d’une galerie dédiées aux WEBM

Après presque trois années d’absence, ouverture d’une galerie trop cool qui va me permettre de stocker tout un tas de vidéos à la con. Le format actuel est WEBM, plutôt mal supporté par les navigateurs en dehors de Google Chrome. Pour remédier à ce petit problème, une chaîne Youtube verra éventuellement le jour. (Edit après un an : En fait […]

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Electronic Arts & ses DLC’s

Histoire de vous divertir toujours plus, voici l’image de la semaine. Nouveau billet très bref qui sera publié chaque lundi à partir d’aujourd’hui et qui tentera de pointer du doigt les aberrations du jeu-vidéo de nos jours. Je profite de cette news pour annoncer l’ajout d’une galerie #WTF composée de gifs. Enfin, n’hésitez pas à […]

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Slender : The Arrival

L’épouvante revient le 27 Mars 2013.

Apparu en 2009 par l’intermédiaire d’une clichés retouchés, l’étrange et filiforme Slenderman n’a de cesse de faire parler de lui. Histoires, nouvelles, photos truquées, vidéos et jeu-vidéo, ce qui n’était à la base qu’un sujet de discussion sur un forum américain est devenu un phénomène quasi-incontournable du jeu d’horreur. Cette suite direct de […]

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Test : Super Meat Boy

Super Meat Boy

Résumons brièvement l’histoire avant d’entamer notre critique : « Super Meat Boy et Bandage Girl s’aiment. Cependant, dans ce monde il existe une personne que nul n’aime : Dr Fetus. C’est pourquoi Dr Fetus déteste tout le monde, même vous. Mais par dessus tout, il ne supporte pas Super Meat Boy, c’est donc pour cette raison qu’il enlève Bandage Girl. Il faut donc aller la sauver. »

Super Meat Boy

Le monde du jeu-vidéo indépendant regorge de surprises, et celle-ci risque de ne pas décevoir les gamers délaissés en ces périodes festives. Inspiré par de nombreux jeux des années 80/90 – sur lesquelles nous reviendrons – ce jeu de plates-formes récupère l’essence même de ce qui a contribué à leur succès. Préparez-vous donc à mourir et à recommencer des dizaines de fois – voire des centaines – le même niveau. Car c’est le principe même de ce titre, recommencer jusqu’à réussir. Cette méthode procure néanmoins une sensation d’accomplissement. Lorsqu’enfin, après avoir râlé et juré devant votre écran, vous parviendrez à terminer le niveau sur lequel vous aviez passé tant de précieuses minutes.

Comme vous vous en doutiez, ce jeu n’est pas spécialement réservé à un publique casual. Il est davantage destiné aux joueurs désireux de revivre un fragment de leur passé ou encore à ceux possédant cette rage de vaincre qu’il est possible de déceler dans tout bon hardcore-gamer qui se respecte. Autrement dit, si vous n’êtes pas de nature patiente ou qu’il est inconcevable pour vous de vous remettre en question, passez votre chemin.

Super Meat Boy

Comme évoqué précédemment, le titre puise sa source d’inspiration dans d’anciens jeux tels que Super Mario Bros, Rick Dangerous, Street Fighter et bien d’autres. Il leur rend hommage à travers plusieurs cut-scenes, clins d’œil, glitchs ou lors de l’accès à certains mondes secrets : les Warp Zones. Ce sera un véritable plaisir que s’en apercevoir au fil de votre avancée.

A première vue le jeu peut sembler graphiquement désuet. Cependant, chaque chapitre possède une ambiance qui lui est propre, teintée de décors rappelant les consoles 8/16 bits. De ce fait, une véritable entité visuelle s’en dégage et certains petits effets viennent gommer tout cela. Les cut-scenes quant à elles sont niaises au possible mais vous remémoreront la série Happy Tree Friends à cause de leur caractère sanglant et parfois plutôt violent.

Super Meat Boy

Concernant la bande sonore, ne vous attendez pas à des miracles si vous n’adhérez pas aux sons électroniques ou à la cheapmusic. Les compositions sont elles-aussi inspirées de cette époque lointaine où les puces électroniques rythmaient nos soirées.

Le Gameplay de Super Meat Boy se veut intuitif et facile. Vous n’aurez qu’à retenir deux actions à savoir sauter et courir. En dehors de ça, il n’y a rien d’autre dont vous devrez vous souvenir. La difficulté du titre réside sur votre faculté à vous adapter à l’environnement et aux pièges dont il recèle. Composé de nombreux traquenards, scies circulaires et plus tard monstres, vous serez obligés de développer votre dextérité au fil de vos essais afin d’espérer en voir le bout. Il vous arrivera même d’être étonné de vos réflexes et aptitudes après un certain temps d’adaptation, car de nombreux pièges se jouent au millimètre près. Évidemment, le jeu intègre un système concurrentiel permettant d’exposer ses meilleurs records ce qui risque de vous pousser à recommencer plus de fois que vous ne le pensez certains chapitres ou niveaux.

Super Meat Boy Forest Easy Mode

Parlons chiffres brièvement, 205 niveaux vous attendent, subdivisés en plusieurs chapitres et difficultés. Une fois un niveau terminé en mode normal et record il vous sera possible de le faire en difficile. Ajoutez à cela 41 succès sur Steam. Ce qui amène le titre à une durée de vie très raisonnable pour son prix. A ce jour, Le Pixel n’a pas terminé le jeu, mais a néanmoins passé une quinzaine d’heures dessus. Comptez 30 heures au minima pour terminer Super Meat Boy dans son intégralité, ce qui est loin d’être déraisonnable pour son prix qui est de 14€ rappelons-le.

Super Meat Boy Forest Hard Mode

Le Pixel vous recommande chaleureusement ce jeu car – premièrement – il est dans ses principes de soutenir les développeurs indépendants. En second lieu, étant adepte du genre old-school, il lui est impossible de passer à coté de ça. Avis aux hardcores-gamers ou partisans du passé, foncez.

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Test : Amnesia, The Dark Descent

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Vacillant, à peine lucide, votre personnage s’éveille lentement et tente de se souvenir de son passé en soliloquant : « N’oublie pas … Certaines choses ne doivent pas être oubliées. L’ombre me pourchasse, je dois me dépêcher. » – « Mon nom est … est … je suis Daniel. »

Après avoir vainement tenté de se remémorer son antériorité, Daniel constate avec effroi qu’aucun ancien souvenir n’ose revenir au sein de ses pensées. Isolé, confiné au cœur d’un château Prussien, il fait une rapide connaissance avec une des seules entités qu’il n’aura pas à redouter : une faible lueur, vulnérable, traversant de lourdes vitres. Suite à quelques échauffourées mystérieuses, Daniel découvre d’étranges notes entassées non loin de l’endroit où il s’est éveillé. L’écriture et le ton employé lui sont familiers, et il se rend rapidement compte que l’auteur de ces mémorandums déchus n’est autre que lui. Son « lui d’autrefois » y narre de sordides antécédents ainsi que la façon dont il s’est volontairement plongé dans cet état d’amnésie latent, tout ceci afin d’éviter une démence. Alexandre de Brennenburg, maître des lieux, y est également mentionné.

C’est ainsi que vous serez plongés dans l’univers Ô combien atrabilaire et Lovecraftien d’Amnesia. Seul, à la recherche de vous même, n’ayant pour unique piste que des lettres adressées à vous même ou d’habiles flash-backs, qui, il faut le souligner, se déclenchent toujours au bon moment. Le scénario demeure définitivement l’un des points forts du jeu.

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Le Gameplay, quant à lui, est tout ce qu’il y a de plus immersif. L’interface se veut entièrement dénudée, par conséquent, aucune jauge ne viendra gâcher votre immersion lorsque vous gambaderez joyeusement à travers les corridors du château. Le moteur physique, tout aussi étonnant que celui des The Elder Scrolls, est un vrai délice. Il permet de multiples combinaisons, l’inspection de chaque objet au détail près et une grande interaction avec le décors. Concernant le système d’inventaire, il n’est pas sans rappeler celui utilisé dans la plupart des point’n’clicks et offre le choix d’assembler ou non plusieurs objets afin de venir à bout des énigmes qui viendront bloquer votre chemin du début à la fin.

Comme vous vous en doutez sûrement, le principe du jeu repose sur l’exploration et la résolution d’énigmes. Cependant, Amnesia ajoute à cela un côté Survival-Horror qu’il ne faut pas négliger. Plus vous vous immiscerez à travers les dédales dont la bâtisse regorge, plus vos entrevues avec les autochtones seront embarrassantes. Si au départ, seuls les courants d’air et autres éléments basiques de notre monde arriveront à vous surprendre, il faudra vous attendre plus tard à faire de vraies rencontres (in)amicales. Et ne vous attendez pas à pouvoir riposter, dans le château d’Alexandre de Brennenburg, vous n’êtes qu’une proie, rien de plus.

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Vos nouveaux meilleurs amis seront donc la discrétion et le silence. Et si par malheur, une créature viendrait à vous poursuivre et que vous décidez de rester dans le noir en priant pour qu’elle parte, sachez que le simple fait d’être plongé dans l’obscurité la plus totale suffira à provoquer chez votre personnage une peur panique. Et qui dit peur dit convulsions, frissons, sanglots, qui sont évidemment ressentis par ladite abomination. Le seul moyen de rompre ces symptômes étant d’allumer votre lampe à huile ou d’utiliser de l’amadou afin d’embraser une torche, vous finirez par être repérés, dans les deux cas.

Votre santé mentale, tout comme votre santé physique sont des éléments primordiaux à ne pas négliger. L’état psychique altère la perception du monde qui vous entoure, ainsi que les capacités physiques de Daniel. Arrivé à un certain seuil, votre héros ne sera même plus en état de marcher, il rampera en gémissant, la vision troublée, vous laissant à la merci de la première chimère rôdant dans les parages. Il faut aussi souligner le fait que le décors change en fonction de votre état de santé mentale, il en va de même pour l’ambiance sonore et certains évènements, comme des hallucinations.

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Parlons tout de même des quelques points négatifs du jeu, afin de rester objectif. Premièrement, les chargements sont bien trop présents pour un jeu où il est possible de sursauter et de se faire surprendre à tout moment, ce qui casse assez souvent le rythme. Il aurait été plus habile de faire des espaces plus vagues. Un autre point noir reste le douteux « scriptage » des monstres qui n’auront de cesse de vous poursuivre. En effet, ces derniers disparaîtront s’ils ne vous repèrent pas ou si vous avez la chance de trouver une bonne cachette et d’y rester quelques petites minutes, c’est un peu regrettable pour un jeu où l’atmosphère se veut oppressante. Malgré ça et heureusement, quelques créatures persistent. Enfin, la dernière critique serait que le jeu est bien trop court, il vous faudra compter 8 petites heures pour en faire le tour, cependant, vu son faible coût (15 euros), cela reste convenable comparé à certaines grosses licences.

Développé par Frictional Games, Amnesia : The Dark Descent est l’un des jeux qui porte – sans nul doute – le mieux son titre depuis bien longtemps. Attendez-vous à réellement sombrer dans un univers angoissant et à vivre une bonne expérience d’épouvante habilement ficelée.

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Bobby Kotick.

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Robert A. Kotick, aussi surnommé Bobby Kotick n’a de cesse de faire parler de lui. Comme à l’accoutumé, ce n’est évidemment pas en bien. Le Pixel va profiter de cet article pour vous faire un léger historique sur cette figure emblématique de la déchéance du jeu-vidéo.

Kotick a été un des fondateurs d’International Consumer Technologies puis a pris sa présidence de 1986 à Janvier 1995. Plus tard, cette filiale est devenue une propriété exclusive à part entière d’Activision. Entre temps, il est devenu le CEO d’Activision de 1991 jusqu’au 10 juillet 2008, lors de sa fusion avec Blizzard. Robert A. Kotick est donc depuis 2008 le directeur d’Activision-Blizzard qui réunit aujourd’hui plusieurs des licences de jeux-vidéos les plus vendues sur ordinateurs, à savoir Warcraft, Starcraft, et Diablo.

Souvent controversé à cause de ses idées visant à ne faire que du profit, Kotick est un des personnages les plus méprisés actuellement par la communauté des joueurs. Il faut dire que ses nombreuses déclarations caustiques et saugrenues ne sont pas là pour l’aider.

« Le but que j’avais en arrivant à Activision il y a dix ans c’était d’enlever tout le plaisir qu’il y avait à faire des jeux vidéo. J’ai essayé d’injecter dans notre culture d’entreprise le scepticisme, le pessimisme et la peur. » et ne cherche avec cette culture d’entreprise qu’à « récompenser le profit et rien que le profit »

Le pire étant, bien entendu, qu’il affirme tout ceci ouvertement et sans aucune crainte. Il se pourrait même qu’il en tire une certaine fierté. Tim Schafer, connu pour avoir donné naissance à Brütal Legend & Psychonauts, semble ne pas apprécier ce personnage qu’est Bobby, et l’a montré dans une interview il y a de ça quelques mois :

« Bobby Kotick a des obligations envers ses actionnaires. Mais ce n’est pas pour autant qu’il doit se comporter comme un tel con, si ? Je pense qu’il lui est possible d’entreprendre ses devoirs sans être un enculé. Cela me semble réalisable. Mais c’est une option qui ne semble pas l’intéresser. Il se vante de ne pas aimer les jeux et je ne pense pas que cette attitude soit bonne pour les jeux en général. Il pourrait aller dans une industrie qui fait plus d’argent. Les roulements à billes… Quelque-chose qui convienne mieux à ses passions. La fabrication d’armes ? »

Suite à ces propos houleux, Bobby s’est offert un droit de réponse lors d’un entretien accordé à un magazine britannique, Edge. Il tente ça et là de défendre son image et de revenir sur ses propos.

« Lorsque j’ai parlé d’enlever le fun du jeu vidéo, c’était une blague ! Mais il y a une minorité de gens très bavards qui ont pensé que je le pensais vraiment. Comment voulez-vous combattre ça ? (…) J’exerce le travail de mes rêves. Je joue aux jeux vidéo depuis que j’ai 18 ans. J’aurais pu racheter n’importe quelle entreprise, mais j’ai racheté une entreprise de jeux vidéo au bord du gouffre et cela fait 21 ans que je m’y consacre. Cette idée selon laquelle je ne serais pas passionné par les jeux vidéo est ridicule ».

Il aurait été possible que cette belle histoire s’arrête là, mais fort heureusement, ce n’est pas le cas. Notre très cher Bobby a déclaré le 27 Septembre dans une interview de nouveau dédiée à Edge :

« Ce type (Tim Schafer) est sorti de nulle part et m’a traité de con. Je ne l’ai jamais rencontré et je n’ai jamais rien eu à voir avec lui. Je n’ai jamais été impliqué de près dans le projet qu’il développait, Brütal Legend, si ce n’est que lors d’une réunion. Dans ce meeting, j’ai entendu dire que le jeu était en retard, qu’il avait raté toutes les dead-lines et qu’il dépassait le budget, sans compter qu’il ne semblait pas être bon, alors nous l’avons annulé. Et vous savez quoi ? Il semble que c’était une chose sensée puisque le jeu est effectivement sorti en retard, qu’il a réellement manqué tous les objectifs et qu’il n’était vraiment pas bon. »

Notons néanmoins que Brütal Legend est un très bon jeu pour qui sait faire abstraction de quelques défauts. Orignal et bourré d’humour, il est une vraie bouffée d’air frais dans le monde vidéo-ludique. Continuons; suite cette réponse, Tim Schafer a répondu dans Eurogamer :

« Ce qui est triste, c’est qu’au lieu de simplement m’insulter personnellement, il s’en prend au jeu et au dur labeur de toute mon équipe en citant Brutal Legend comme un mauvais jeu qu’il voulait annuler, un groupe de personnes qu’il a quasiment jeté dehors il y a quelques temps. Mais ce qui est encore plus triste, c’est qu’il lui aura fallu deux mois pour réfléchir à cette affaire et me répondre. »

L’histoire entre Tim et Bobby est pour l’instant terminée, cependant, Bobby s’attaque désormais directement à Electronic Arts, toujours dans l’interview accordée à Edge :

« Le principe fondamental d’Activision est l’exact opposé de celui d’Electronic Arts. EA rachète les studios et les renomme EA Florida, EA Vancouver, EA New Jersey, et que sais-je encore. Pour notre part, nous avons toujours apprécié que les développeurs aient une culture et une vision indépendantes, et c’est ce qui les rend si performants. Nous n’avons pas d’Activision quelque chose, mais des Treyarch, Infinity Ward ou Sledgehammer. Nos studios veulent faire de bons jeux et ils veulent le faire de la meilleure des manières, et je pense que nous avons tout intérêt à éviter de leur mettre des pressions du type : « Nous voulons que le jeu soit prêt à telle date précise ». Aucun studio lié à Activision ne vous dira jamais « C’est Activision qui nous a forcés à sortir le jeu. »

En plus de se contredire lors de cette interview, Kotick semble oublier son histoire avec Infinity Ward. Pour faire simple, le Studio a été déserté par une bonne partie des anciens employés car leur travail n’était pas réellement bien considéré. Mais le plus drôle reste la réponse écrasante d’Electronic Arts :

« Sa société est basée sur trois franchises : l’une est un monde persistant fantastique avec lequel il n’a rien à voir ; l’autre est en plein déclin ; et la troisième est en train d’être détruite par le propre orgueil de Kotick. »

Décortiquons rapidement. La première franchise est World of Warcraft, effectivement, Bobby Kotick n’a rien à voir là dedans. La seconde, Guitar Hero, est extrêmement concurrencée, et enfin, la dernière à savoir Call of Duty est en train de mourir à cause des ambitions capitalistes de notre très cher ami. Si vous n’étiez pas au courant voici le pourquoi du comment : « Nous avons entendu dire que 60% des joueurs Xbox 360 souscrivent un abonnement au XBox Live Gold rien que pour Call of Duty. Or, nous ne tirons pas vraiment profit de cette manne financière. » Il semblerait donc qu’Activision instaure à l’avenir un abonnement supplémentaire pour accéder aux services en ligne.

Le Pixel n’hésitera pas, bien entendu, à vous fournir d’avantages d’informations croustillantes lorsque celles-ci arriveront.

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Leelh : Les résultats !

Concours organisé avec Leelh : Les Gagnats ! !

Le concours Leelh : Les Larmes de L’Aube est terminé depuis une heure déjà et les gagnant ont été prévenus et récompensés par E-Mail.

Le Pixel tient à féliciter :Brontis, Rébecca, Thibault

Profitez bien de votre mois de jeu pour explorer le monde Post-Apocalyptique de Leelh ! N’hésitez pas à faire part d’éventuels retours.

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Concours : Leelh !

Concours organisé avec Leelh !

Après avoir réalisé un léger billet sur Leelh : Les larmes de l’Aube, Le Pixel & 3D Duo vous offrent la possibilité de participer à un jeu concours permettant l’obtention d’un mois gratuit de jeu. Pour participer et peut-être remporter un des trois abonnements, il vous suffit de répondre correctement aux trois questions qui vont suivre et d’envoyer vos réponse via le formulaire de contact !

1. Quel est le nom du prochain épisode de Bioshock ?

2. Qui est le père de Link, Mario et Donkey Kong ?

3. Comment avez-vous connu Le Pixel ?

Un tirage au sort sera effectué le 20 septembre au soir pour déterminer les trois heureux vainqueurs. Si – par malheur – vous n’arriviez pas à trouver les bonnes réponses, il vous est possible de participer à un autre concours : Les Bonnes Bannières sur le site officiel de Leelh, à vos claviers !

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