Zelda 3, A Link To The Past - Test rétro - Le Pixel.com
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Rétro : Zelda 3, A Link To The Past.

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Il y a longtemps, dans le beau Royaume d’Hyrule entouré de montagnes et de forêts, des légendes parlaient d’un Pouvoir d’Or omniscient, caché dans un sanctuaire sibyllin. Beaucoup cherchèrent par les armes à pénétrer cette Terre d’Or secrète, mais personne n’en revint jamais. Un jour, un pouvoir diabolique et puissant s’exhala de la Terre d’Or. Aussi le Roi ordonna-t-il à Sept Sages de sceller la porte de cette Terre d’Or. Avant que la sorcellerie ne prenne fin, Ganon assiègea la Terre d’Or et séjourna alors, dans ce monde puissamment scellé. Corrompu par l’occultisme ascendant de cette Terre, on raconte qu’il toucha la Triforce et plongea à jamais la Monde d’Or dans un profond chaos.

 

Le sceau des Sept aurait dû demeurer à jamais. Mais quand ces événements occultés par les brumes du temps devinrent légendes, un mysterieux sorcier nommé Agahnim vint à Hyrule pour détruire le sceau. Il supprima, en premier lieu, le bon roi d’Hyrule et provoqua un coup d’état. Grâce à sa puissante magie, il se mit ensuite à faire disparaître une à une les descendantes des Sept Sages et les emprisonna dans de solides cristaux. Et l’accomplisement du destin de la Princesse Zelda se fit proche.

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A cours d’une nuit noire et pluvieuse, Link encore jeune et vivant chez son oncle, reçu un message télépathique.

« Aidez-moi, s’il vous plaît, aidez-moi. Je suis retenue prisonnière dans le donjon du Château, mon nom est Zelda. Le sorcier, Agahnim, a ensorcelé les autres demoiselles manquantes. Il ne reste désormais plus que moi. Cet être démoniaque a prit le contrôle du Château après avoir assassiné mon père et il s’efforce maintenant à briser le sceau des Sept Sages. Je suis emprisonnée dans le donjon, aidez moi ! »

Link s’éveilla, épiant à gauche puis à droite quand son oncle prit la parole :

« Je sors faire un petit tour. Je serai de retour au petit matin. Ne sors pas de la maison ! Ne t’inquiète pas pour moi. »

C’est ainsi que le joueur est plongé au coeur de cette formidable péripétie qu’est l’aventure de Zelda 3 : A Link To The Past. Cet épisode est donc un jeu vidéo d’action-aventure édité et développé par Nintendo, production toujours dirigée par Shigeru Miyamoto. Il reprend le principe du premier Zelda, à savoir un jeu d’aventure entièrement vu de dessus. [Et non pas avec une vue de côté comme Zelda 2, qui lui, est une pure hérésie, malgré ses quelques bonnes idées.] Le Pixel, alors âgé de trois ans, ainsi que de multiples joueurs chanceux aurons mis leurs pattes dessus le 28 mars 1992, date de parution en Europe.

Une fois n’est pas coutume, Kōji Kondō signe à nouveau une bande originale mirifique. Jamais les thèmes d’un Zelda n’auront été aussi marquants que dans cet épisode, bien que repris du premier volet mais entièrement remasterisés. L’Overworld, ici thème du Monde de la Lumière, aura d’ailleurs, sans nul doute, marqué toute une génération de joueurs.

Vous serez donc immergés – une fois de plus – au sein d’Hyrule. Dans cet épisode, Nintendo mise sur la liberté d’exploration et de mouvement. Link aura la chance de pouvoir traverser deux mondes différents, à savoir le « Monde de la Lumière » et le triste « Monde des ténèbres ». Il faut cependant savoir que le « Monde des ténèbres » est, en quelque sorte, un alter-égo du « Monde de la Lumière ». Effectivement, géographiquement, tout semble similaire à quelques exceptions près, en revanche, la population du Monde Noir est damnée. Ganon, après avoir exercé ses rites et maléfices a gangrené ce monde – qui autrefois – ressemblait trait pour trait au Monde de la Lumière.

En ce qui concerne les nouveautés, cet épisode de la série en regorge, que cela concerne les objets ou l’environnement. Link pourra se servir d’une multitude de nouveaux objets, capturer des fées ou conserver d’étranges mixtures. On notera l’apparition d’un ustensile passif, à savoir les Bottes de Pégase, qui lui permettront, de se mouvoir plus rapidement ou d’écraser ses adversaires avec une charge mortelle. Au niveau du décor et du level-design, des changements se feront remarquer. Les donjons sont plus vastes et possèdent désormais divers étages reliés. En extérieur, Link aura la capacité de naviguer librement entre les deux mondes afin de résoudre plusieurs énigmes.

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Soyons clairs, cette oeuvre n’avait pas laissé Le Pixel de marbre lorsqu’il n’était encore qu’un bit, et il faut avouer que cet épisode de la série The Legend Of Zelda l’aura définitivement marqué. Ce jeu offre une grande liberté, recèle de divers secrets à découvrir [Comme réunir tous les fragments de coeur, qui est un réel défi en soi], et dispose de graphismes féériques et naïfs, [Tout particulièrement pour le Monde de la Lumière]. Alors, oubliez vos consoles actuelles, cherchez à vous le procurer et laissez vous bercer par l’un des meilleurs jeux de tous les temps.

Le Pixel

Il y a 4 Commentaires sur "Rétro : Zelda 3, A Link To The Past."

  • Zugallak dit :

    Omfg , nice ! très bien expliquer , et j’encourage tout le monde à se le procurer ! o/

  • pomchips dit :

    Une perle vidéoludique que je me suis refais avec plaisir il y a quelques semaines. Sur GB Micro par contre : le jeu et la console parfaite pour les transports en commun mais le charme du jeu et les musiques de Kondo-san m’ont fait plusieurs fois louper mon arrêt ! ^^

  • Le Pixel dit :

    Assurément. Je pense que s’il m’était possible de refaire les grands titres de la SNES dans les transports en commun, je n’arriverai jamais à destination. : )

  • Thomas G-Ly dit :

    Yepa, bonne pioche, un vrai chef d’oeuvre ce jeu !!!

    Moi aussi je me le suis refait sur GBA et il y a rien a redire =)

    Kōji Kondō est vraiment un artiste, d’ailleurs mon reveil matin est la musique du premier jour à Bourg Clocher dans Major’as Mask (je suppose que tu dois connaître aussi)

    Bref, joli blog, bonne continuation =D

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